19 juin 2013. Patrick
Bruel pose ses valises à Nantes. Un Zénith plein à craquer attend
le chanteur de «la place des grands hommes».
18h45: Les portes
s'ouvrent et laissent place à l'euphorie d'avant concert. Le Zénith
se rempli petit à petit. La playlist choisie par les organisateurs
devient de plus en plus inaudible. Après le Mylo Xyloto de Coldplay,
on peut entendre « Panic Station » de Muse. Autant vous
dire que je suis prête à l'accueillir monsieur Bruel !
20h30: Les lumières
s'estompent et des dizaines de fans se ruent devant la scène (le
premier rang se transforme alors en cinquième rang..). Les vigiles
ne disent rien et la tension monte entre les gens assis et les fans
debouts. Le show commence avec un sublime compte à rebours de trente
secondes. Des photos de Patrick enfant, des images de ses débuts et
une « place des grands homme » magnifiquement reprise par
le public. Enchaînant chansons lentes et rapides, plus anciennes et
récentes le spectacle bat son plein.
22h30: Je regarde
mon téléphone, pensant qu'il s'est écoulé un quart d'heure, une
demie-heure tout au plus.. Mais non déjà 2h de spectacle et ça
sent déjà la fin. Je ne veux pas que ça s'arrête. Du rire aux
larmes, des larmes au rire, des textes intenses et très touchants..
C'est ça un concert de Patrick Bruel. Tu souris, tu danses, tu as la
petite larme qui coule. Bref, c'est magique.
23h: La troupe au
grand complet salue. Une dernière chanson de Patrick à la guitare
et c'est terminé. Les lumières se rallument et la réalité reprend
son cours.
Emmanuelle.
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